les monographies
La monographie éditée par aparté est la première présentation de l’oeuvre et de la démarche de l’artiste. Ce n’est ni un catalogue d’exposition, ni réellement un livre d’artiste. C’est une oeuvre en soi conçue et réalisée dans une étroite collaboration entre l’artiste et le-la commissaire. L’objet livre est précieux, il marque une étape, un temps d’arrêt et de réflexion sur un parcours en construction. Il vise à offrir une réelle visibilité de l’oeuve de l’artiste.
Delphine Renault, présentée par Karine Tissot, questionne le paysage – agreste ou urbain – et par des interventions éphémères, emmène le visiteur dans une découvere propice à l’imaginaire et à la réflexion. Plus d’informations sur la monographie et commande Texte […]
Première monographie de Séverin Guelpa réunissant les travaux réalisés dans le cadre des projets Matza avec un essai de Simon Lamunière. Véritable ancêtre de la pétition populaire, la matze est un tronc d’arbre que l’on arrachait et déplaçait de village […]
« L’œuvre de Maxime Bondu (…) [convoque] des lieux et des disciplines hétérogènes, des périodes historiques et des domaines scientifiques. (…) Ses œuvres ne progressent pas du grand vers le petit et n’ont aucune prétention à la généralisation. Au contraire, […]
« L’art de Donatella Bernardi prend principalement la forme d’installations éphémères, de performances et de publications. Elle adapte les médias et les formats qu’elle utilise au gré des thèmes et des lieux. Jusqu’ici elle n’a produit que peu d’oeuvres que l’on […]
Connu pour ses performances critiquant l’assujettissement du corps à diverses disciplines, pour son analyse de l’économie consumériste et pour ses machines désirantes renversant la logique de cette économie, Laurent Faulon n’est pas un artiste au parcours normé. Son œuvre ne […]
Dans l’atelier de son école d’art, l’étudiante en peinture Geneviève Favre Petroff donne de la voix. Le signe de la femme disaient les Stoïciens, c’est la voix. Toutes les œuvres de l’artiste sont orientées par la voix qu’elle noue avec […]
Alexandre Joly revisite le genre de la « nature morte » par le biais d’interventions à la fois ludiques et morbides. Pour matérialiser le fantasme, un jeu particulier est engagé avec l’art de la taxidermie, cet arrangement de la peau. […]